Karmathérapie: se libérer de douleurs de vies passées

Karmathérapie: se libérer de douleurs de vies passées

Arrête d’être une poupée

 J’ai moi-même vécu cet abîme. Guerrier mandchou, poignardé dans le dos par un traître à son camp. Le plus étrange, c’est que dans le refrain, on perçoit cette imagerie et ce détail latents de la vie passée… Mais à ma grande surprise, j’ai des picotements sous l’omoplate gauche quand je m’entraîne dur. Un expert en énergie a indiqué exactement d’où venait cette douleur sans lui en parler. Sans le recul nécessaire pour évaluer l’impact, cette prise de conscience lève un voile gris et me fait me sentir libérée d’un fardeau qui ne m’appartient pas. « Il existe un lien fort entre les vies passées et cette vie en termes de problèmes et de relations rencontrées. Ce travail de nettoyage énergétique effectué dans les différents chakras nous permet de couper les fils qui nous relient à ces mémoires.

Nous le pouvons », explique Sandrine Duhazé. Les connexions aux vies passées se présentent sous la forme d’images et d’émotions qui surgissent en relation avec l’expérience. Les experts de cette énergie se disent étonnés des échos des vies passées dans les expériences présentes. C’est ainsi qu’elle se souvient d’une femme qui dans sa vie antérieure aurait été déclarée « folle » et s’est fait enlever ses enfants. Mais elle lui a avoué, totalement infondé, que sa plus grande peur dans cette vie était que ses enfants lui soient enlevés pour la même raison. Cela signifie que vous travaillez comme… Placer les enfants séparés de leurs parents en famille d’accueil. Sandrine Duhazé se souvient aussi de cet homme dont la compagne actuelle dans une vie antérieure était apparemment sa mère. Avec un petit rire, il lui a dit qu’il ne surprendrait pas sa compagne, qui l’avait en fait traité comme une mère, tout en clarifiant des relations qui ne sont plus parasitées par des relations (passées). La clé est de devenir plus calme, conscient et clair. Et renouer avec ce noyau glorieux, « cette universalité qui est en chacun de nous ».

Fais la paix avec ton côté obscur

 La psychologue clinicienne et hypnothérapeute Lise Bartoli aime parler du travail avec différents personnages en nous. Ces archétypes (guerriers, infirmières, prisonniers, etc.) nous façonnent. « Que ces personnages soient ou non des vies antérieures est une question de croyance. Ils peuvent aussi appartenir à nos ancêtres ou à notre inconscient collectif », souligne-t-elle. L’important aujourd’hui est de le surmonter. « Ces archétypes, uniques à chaque personne, ne sont pas l’ennemi. Ils sont venus nous parler et nous les avons activés sans le savoir. Il s’agit de les rencontrer dans un état d’hypnose et de les reconnaître pour qu’ils se réconcilient », explique-t-elle.

Et cette solution est liée à la survie, permettant de renouer avec des mémoires anciennes (karma, transgénérationnel, puisées dans l’inconscient collectif). L’hypnose permet de pénétrer le champ inconscient et de supprimer les solutions qui ne sont plus d’actualité et alourdissent le présent.  » Si vous êtes un guerrier de première ligne qui a peur de mourir, l’idée d’être viré est terrifiante et vous ne pouvez pas demander une augmentation ! Nous réactivons inconsciemment des souvenirs importants, alors nous répétons la vie.  » Notre réponse est donc déséquilibrée. L’hypnothérapeute évoque le cas de cette fille qui a fait une crise de colère incontrôlée.En résonnant avec l’inconscient de cette patiente, Lise Bartoli est capable d’identifier les altérations propres à l’hypnose.Dans cet état de conscience, elle rencontre un archétype prisonnier synonyme d’enfermement.Quoi qu’il en soit, il recrée le souvenir in utero du besoin désespéré de sortir du ventre de la mère. Cependant, la mère a déclaré qu’elle subissait un stress intense à ce stade de sa grossesse après le diagnostic potentiellement mortel (en fin de compte faux) de son mari. Cet archétype n’est pas nécessairement le karma. Les souvenirs flottent autour de nous. L’essentiel est de libérer ce prisonnier et de libérer cette fille d’une prison symbolique. Ce travail typique de libération se déroule en plusieurs étapes. Il s’agit de ressources d’archétypes lumineux (comme les fées, les anges, les alchimistes…). Site avec plus d’explications.

Lors de la première séance où le patient a une demande consciente (soulager ses insomnies, arrêter de fumer, etc.), Lise Bartoli résonne d’inconscient en inconscient et entre en résonance avec ces zones d’ombre en état de fascination. « L’écoute de cette partie inconsciente crée des archétypes et les restitue au patient. mais ils le rejettent. Comme le langage de l’inconscient est métaphorique, après avoir apprécié l’archétype du message véhiculé, par la visualisation avec des symboles clés, on peut « envoyer beaucoup de la lumière » à ce côté obscur. rompre les liens avec (par ex. Une blouse d’infirmière est toujours utile aux autres). « A moins de lâcher prise sur ce côté obscur, il sera difficile de régler le problème de la conscience », souligne Lise Bartoli.

Entendre la voix d’un rêve

 Les scénarios bizarres de nos rêves, parfois jonchés de mille et un détails étrangers à notre vie actuelle, posent question.Cette partie profonde de la psyché nous transmet des messages extraordinaires qui peuvent être librement exprimés sans restrictions ni interdictions, transcendant les frontières de l’espace et le temps. Si tel est le cas, le bouddhisme propose une tâche spécifique appelée « Yoga des rêves ». En référence à cette pratique, les rêves peuvent être largement divisés en deux catégories : les rêves karmiques et les rêves lucides. Selon les vues bouddhistes, en plus des rêves qui reflètent le karma de la vie actuelle (y compris les tensions, les conflits, etc.), les rêves de karma peuvent être liés à des vies antérieures. « Par exemple, si vous avez été tué dans une vie antérieure, vous pouvez continuer à rêver d’être tué dans cette vie », explique Namkhai Norbu Rinpoché dans Le Yoga des Rêves. « Si vous pratiquez la nuit, des rêves lucides, le chemin de l’éveil apparaîtra non seulement occasionnellement, mais régulièrement, et vous vous y habituerez », explique Namkai Norbu, qui explique comment les utiliser dans son livre et sa formation souligne le karma. Thérapie… J’avais un rêve!